Google teste actuellement en live l’index Mobile First

Google vient d’indiquer que son projet Mobile First avançait et qu’il était actuellement en test auprès de certains utilisateurs de son moteur de recherche. Pas plus d’informations pour l’instant, hélas, malgré la promesse initiale du moteur……

John Mueller a indiqué dans un hangout que le moteur de recherche Google testait actuellement son projet d’index Mobile First en live dans les résultats de recherche. Le pourcentage d’internautes impactés par ces tests n’ayant pas été fourni. Bien entendu, aucune date de lancement officiel n’a une fois de plus été donnée.

Cela permet notamment à Google de benchmarker les résultats de cette nouvelle donne par rapport à l’ancienne et d’appréhender le comportement de ses utilisateurs face à ces résultats ainsi que de savoir si certains sites « répondent » moins bien en Mobile First.

On peut d’ailleurs noter qu’au lancement de Mobile First, puis à de nombreuses reprises par la suite, les porte-paroles de Google avaient indiqué que le moteur fournirait de nombreuses informations à son sujet et communiqueraient le plus possible sur la meilleure façon de se préparer à ce futur index. Pour l’instant, mis à part quelques tweets et évocations lors de hangouts, on ne peut pas dire que cela soit franchement le cas. Décevant en termes de communication…

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Les spiders de Google construisent les index du moteur… Source de l’image : Chicag-D

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Apple passe de Bing à Google comme technologie de recherche

Apple a annoncé dernièrement qu’il remplaçait la technologie de Bing par celle de Google pour iOS et sur Mac. Un coup dur pour Bing, qui garde cependant la recherche d’images. Maigre lot de consolation…

Apple a annoncé cette semaine son retour au moteur de recherche de Google, en lieu et place de Bing, pour le système d’exploitation mobile iOS (et donc Siri) et Spotlight, l’outil de « search » sur les Mac, tout comme pour le navigateur Safari.

Il s’agit d’une retour aux sources puisque la firme à la pomme utilisait déjà Google jusqu’en 2014, date à laquelle elle avait adopté Bing. Cette année, Apple et Google auraient conclu un accord global d’un montant estimé à 3 milliards de dollars, sans que l’on sache exactement ce qu’il contient. Mais il est clair que la présente annonce en fait partie.

Pour Bing, en revanche, il s’agit d’une mauvaise nouvelle (même s’il garde la recherche d’images pour les produits Apple, alors que les vidéos seront servies par YouTube) qui devrait avoir un impact non négligeable sur ses parts de trafic en Europe et surtout aux Etats-Unis.

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Infographie : Update Google Fred

Infographie : Anatomie de l'update Google Fred

Google lutte de façon acharnée contre le spam de son moteur de recherche et les webmasters qui tentent de manipuler ses algorithmes en proposant en ligne du contenu de faible qualité. Après Panda puis les Quality Updates, voici Fred lancé en mars dernier et présenté ici en une infographie…

Notre infographie du vendredi est proposée aujourd’hui par le site 180Fusion et nous plonge dans les entrailles de la mise à jour de l’algorithme Google dénommée Fred par Gary Illyes, qui a eu lieu au mois de mars dernier. Que sait-on à son sujet ? Quels points impacte-t-il sur un site web (lorsqu’il a un effet, ce qui n’est bien sûr pas le cas pour toutes les sources d’information) ? Etc. Voici donc quelques éclairages sur l’un des updates les plus mystérieux lancés par Google depuis quelques années, qui toucherait a priori les sites proposant du contenu de faible qualité, dans le style de Panda ou des Quality Update.

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Infographie : Anatomie de l’update Google Fred. Source de l’image : 180Fusion.

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Définition : Le Linkbaiting, c’est quoi ?

Définition : Le Linkbaiting, c'est quoi ?

Le netlinking (stratégie visant à rechercher des liens pointant sur son site depuis d’autres sources d’informations) est l’une des parties les plus complexes et les plus chronophages du SEO. Parmi les actions qu’il est possible de mettre en place à ce niveau se trouve le linkbaiting. De quoi s’agit-il ?…

Qu’est-ce que le Linkbaiting ? Voici notre définition :

Le terme Linkbaiting (de link = lien et to bait = appâter en anglais) désigne une stratégie visant à proposer, sur un site web, un contenu de qualité qui plaira aux internautes qui, eux-mêmes créeront d’eux-mêmes des liens vers lui.

Toute personne qui a tenté un jour de mettre en place une stratégie de netlinking sait à quel point il est difficile de faire monter un site en popularité, qui plus est depuis que Google a lancé ses actions manuelles et surtout le filtre Penguin qui combat les liens de faible qualité.

Parmi les différentes possibilités disponibles pour créer du lien vers un site web, on trouve le linkbaiting, qui n’est pas la moins chronophage certes, mais qui présente la double particularité (et le double avantage) de plaire à la fois aux internautes et aux moteurs. Il s’agit tout simplement (sic) de créer un contenu de la meilleure qualité possible, le plus souvent possible. Les réseaux sociaux peuvent par la suite servir à le faire connaître, par exemple. Les internautes ainsi avertis, viennent, lisent et aiment. Et, par voie de conséquence, créent des liens sur leurs sites web (blog ou autre). Le phénomène est parfaitement naturel et ne peut donc pas être condamné par Google (et pourquoi le serait-il , d’ailleurs ?).

Principal avantage : vous obtenez ainsi des liens le plus souvent d’excellente qualité. Principal inconvénient : il faut bosser (ce qui semble rédhibitoire pour certains ). C’est ce que nous essayons – modestement – de faire sur Abondance depuis près de 20 ans maintenant. Et, si on en croit les chiffres de la Search Console, notre site reçoit actuellement près d’un million de backlinks.

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Infographie : 30 statistiques SEO (récentes) à connaître

Quand on aime le SEO, on aime la data, les données chiffrées. En voici quelques-unes, issues de plusieurs études publiées sur le Web ces derniers mois, et qui concernent de nombreux domaines ayant d’une façon ou d’une autre trait au référencement naturel…


Notre infographie du vendredi est proposée aujourd’hui par le site Blogkens et propose 30 chiffres et statistiques sur le SEO en général et Google en particulier : fonctionnement du moteur, usage des internautes, création de site web ou réseaux sociaux, etc. Voici une somme de pourcentages qui peuvent vous aider, notamment dans vos présentations, sachant que la majeure partie de ces informations sont assez récentes (quelques mois la plupart du temps). Bonne révision ! (cliquez sur l’image pour en obtenir une version agrandie) :

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Infographie : 30 statistiques SEO à connaître. Source de l’image : Blogkens.

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Google analyse les « Comment… ? »

Google a récemment lancé un site web qui recense et tente d’analyser les requêtes posées depuis 2004 sur son moteur de recherche et qui débute par ‘Comment…’, le tout au travers de différents pays. Requêtes et étonnantes et disparités géographiques sont au rendez-vous…

De nombreuses requêtes sur Google commencent par « Comment… ? » (elles ont connu 140% de croissance depuis 2004, selon le moteur de recherche). Aussi, Google, en collaboration avec Xaquín González Veira, un designer et journaliste spécialisé, a créé le site How to fix a toilet (comment réparer ses toilettes ?) sur lequel on trouve un tas d’informations sur les questions que posent les internautes sous cette forme à leur moteur préféré dans de nombreux pays.

Par exemple, en France, ce sont les machines à laver le linge que les internautes tentent de réparer en ligne, avec un indice de 49 (qui monte à 100 au Kazakhstan !) alors que ce sont plutôt les réfrigérateurs à l’île Maurice (on peut y trouver une certaine logique…) et les toilettes en Bolivie (là, c’est plus complexe à comprendre…). On apprend également qu’il y a une corrélation entre les courbes de croissance des requêtes « Comment réparer des toilettes ? » et « Comment utiliser les baguettes chinoises ? ». Coïncidence ? Les spécialistes de la théorie du complot auront ici bien du grain à moudre…

Enfin, si vous vous demandez quelles sont les 10 questions commençant par « Comment » les plus posées dans le monde sur Google, les voici :
1. Comment faire un nœud de cravate ?
2. Comment embrasser ?
3. Comment être enceinte ?
4. Comment perdre du poids ?
5. Comment dessiner ?
6. Comment gagner de l’argent ?
7. Comment cuisiner des pancakes ?
8. Comment écrire une lettre de motivation ?
9. Comment faire du « french toast » ?
10. Comment perdre la graisse du ventre ?

A noter que toutes ces données sont disponibles en ligne sous forme de datasets thématiques si vous désirez les utiliser pour votre propre compte.

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Qu’est-ce que veulent réparer les internautes dans le monde ? … Source de l’image : Google

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Définition : Le (Not Provided), c’est quoi ?

Depuis 2011, Google chiffre ses pages de résultats, ce qui a comme effet de ne plus fournir les mots clés ‘referer’ (utilisés par les internautes sur le moteur) aux sites qui reçoivent un trafic SEO. Résultat : impossible de savoir comment vos visiteurs on trouvé votre site…

Que signifie (Not Provided) ? Voici notre définition :

La mention (not provided), dans Google Analytics, indique que le mot clé « referer » (le mot clé qui a servi à trouver le site sur Google) n’est pas connu dans les statistiques d’audience. En d’autres termes, vous savez qu’un internaute visite votre site en provenance de Google, mais vous ne savez pas quelle requête il a tapé sur le moteur pour arriver chez vous.

Pendant de nombreuses années, Google a fourni, au travers de l’URL de ses pages de résultats, la requête tapée par l’internaute pour obtenir la SERP correspondante. Lorsque l’internaute cliquait sur un des liens proposés, cette URL – et donc la requête utilisée – était transmise au site distant qui pouvait ainsi connaître les termes utilisés par le visiteur pour identifier le site sur le moteur de recherche.

Ce n’est hélas plus le cas depuis que Google a décidé de chiffrer (https) ses pages de résultats en 2011 : la requête n’est alors plus transmise au site distant. Lorsque vous êtes le webmaster d’un site web et que vous regardez vos statistiques d’audience, par exemple via Google Analytics, vous voyez un trafic émanant de Google, mais les mots clés « referer » n’étant plus transmis, cette information est globalisée sous le terme « not provided » (la requête n’est pas fournie) dans Analytics (zone « Acquisition > Tout le trafic > Canaux > Organic search », voir illustration ci-dessous). Le pourcentage de requêtes en (not provided) a rapidement augmenté en France depuis que Google chiffre ses pages, de 12% en 2012, puis 41% en 2013 jusqu’à quasiment 100% aujourd’hui car les navigateurs eux-mêmes ne transmettent plus ces informations.

Cela représente un handicap énorme en webmarketing puisqu’on ne peut plus évaluer aujourd’hui la taux de transformation d’une requête par rapport à une autre, par exemple.

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La liste des mots clés « referers » dans Google Analytics : plus de 98% de (not provided)… Source de l’image : Abondance

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Définition : Un EMD, c’est quoi ?

De nombreux référenceurs ont eu recours, depuis des années, aux techniques d’EMD pour obtenir un meilleur référencement de leur site web. Mais que sont les EMD et comment Google les traite-t-il ? Est-ce du spam ou une stratégie pérenne ?…

Qu’est-ce qu’un EMD ? Voici notre définition :

Un EMD (pour Exact Match Domain) est, en SEO, un nom de domaine contenant un ou plusieurs mots clés représentatifs de la thématique principale traitée par le site web, à des fins de positionnement sur les moteurs pour cette requête. Exemple : rachat-credit.com ou immobilier-pas-cher-paris.fr.

Historiquement, la présence d’un mot clé dans le nom de domaine du site web était un critère très fort sur tous les moteurs de recherche. De nombreux référenceurs ont donc créé des EMD, ou noms de domaine reprenant les requêtes pour lesquelles un bon positionnement était désiré : plombier-marseille.com, restaurant-nantes.fr ou formation-referencement.net par exemple, plutôt que des noms de domaines équivalent au nom de l’entreprise qui mettait en ligne le site. La disponibilité plus ou moins récente des nouvelles extensions (.xyz, .shop, .biz, .info, etc.) a également rendu plus facile l’achat de noms de domaine à faible coût, renforçant encore le phénomène.



Le fait d’utiliser des EMD avait deux avantages : un nom de domaine reprenant les termes désirés, mais également la possibilité d’obtenir plus facilement des liens avec des ancres significatives (si un webmaster crée par exemple un lien sur la phrase « allez sur le site www.restaurant-nantes.fr« , l’ancre reprend ainsi des mots clés intéressants).

Devant ces abus, Google a notamment réagi de deux façons :
– En baissant le poids accordé à la présence de mots clés dans le nom de domaine. C’est le cas depuis le début des années 2010.
– En mettant en place un filtre algorithmique baptisé EMD qui a pour fonction de dévaloriser dans les résultats de recherche les sites qui utilisent ce type de technique.

La situation a donc fortement évolué de façon négative pour les EMD depuis plus de 5 ans. Mais il serait faux de dire que les EMD ne marchent plus en SEO. La présence de mots clés dans le nom de domaine reste un critère non négligeable, même s’il est loin d’être suffisant. En d’autres termes, il vaut mieux l’avoir qu’en être privé ;-). Mais ce point est devenu très sensible et doit donc être mis en place avec bon sens et parcimonie : ne pas proposer plus de 3 mots, les coller plutôt que les séparer avec des tirets, et éviter les « EMD bourrins » qui ressemblent trop à des requêtes (pizzeria-lyon-pas-cher.com), bref faire preuve d’intelligence dans le choix de son nom de domaine est un réflexe prioritaire ! Et évidemment, proposer un contenu de qualité qui plaira aux internautes :-).



Terminons cette définition en vous proposant la lecture de deux articles très fouillés sur le sujet, en anglais sur le site Moz, article repris, traduit et résumé en français sur le site Axe-net.

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Pyramide des différents types d’EMD possibles… Source de l’image : Moz

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Optimiser son référencement WordPress

La troisième édition du livre ‘Optimiser son référencement WordPress’, de Daniel Roch chez Eyrolles, vient de sortir et propose un contenu réactualisé sur la base des nouvelles versions du CMS et de ses extensions, avec à la clé une nouvelle couverture et de nouveaux chapitres pour aller encore plus loin. Indispensable et incontournable…

Le livre « Optimiser son référencement WordPress » de Daniel Roch vient de sortir chez Eyrolles sous une nouvelle livrée pour sa troisième édition, mise à jour et augmentée, passant de 295 pages à 365 (une à lire chaque jour de l’année donc 🙂 ).

Cette troisième édition hérite donc d’une nouvelle couverture (passage dans une autre collection de l’éditeur oblige) mais surtout de nouveaux chapitres, tout autant orientés SEO que WordPress, à savoir : les mots clés en référencement naturel, l’importance de la stratégie SEO, les clés de la réussite du référencement WordPress, le concept de silos en référencement.



Mais comme WordPress est également un CMS qui évolue à toute vitesse (et que la deuxième édition du livre datait déjà de deux ans, comme le temps passe…), la plupart des chapitres existants ont été revus en détail : ainsi, toutes les sections liées aux extensions ont été mises à jour, les concepts clés de WordPress ont été étoffés pour mieux comprendre le cœur du CMS (et éviter ainsi certaines erreurs courantes), des définitions des termes les plus utilisés en SEO et sur WordPress sont donnés en début du livre, une mise à jour complète de toute la section dédiée aux étiquettes a été effectuée, etc.

Bref, une lecture indispensable d’un ouvrage qui est rapidement devenu, depuis sa première parution, un incontournable du webmaster qui utilise WordPress comme CMS et qui désire obtenir une meilleure visibilité sur Google…

Pour se procurer le livre

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Couverture du livre « Optimiser son référencement WordPress », 3e édition, par Daniel Roch (Eyrolles, 2017)… Source de l’image : Abondance



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Bing a 19% de parts de trafic en France : Vraiment ?

Microsoft a dernièrement publié certaines statistiques indiquant les parts de trafic de son moteur de recherche Bing dans le monde. En France notamment, il occuperait 19% de marché. Ce qui est totalement en dehors d’une réalité qu’il est très facile de vérifier…

Le compte Twitter Bing Ads a dernièrement publié quelques statistiques étonnantes (reprises dans les illustrations ci-dessous) sur les parts de trafic de son moteur de recherche en France, en Europe et dans le monde.

Selon ces graphiques, Bing aurait par exemple des parts de trafic de 33% aux Etats-Unis, 16% au Canada, 10% en Espagne, 23% en Grande-Bretagne et 19% en France. Ces chiffres compilent bien sûr le trafic sur le moteur de recherche Bing et celui sur les autres sites utilisant sa technologie : Yahoo!, AOL, Qwant, etc.

Si les chiffres pour les Etats-Unis semblent conformes à la réalité, on se demande bien d’où sortent ceux pour l’Europe et la France et comment Microsoft peut arriver à de telles statistiques. Pour s’en convaincre, on peut utiliser plusieurs moyens. Le premier est le site Statcounter Global Stats qui donne sur les 12 derniers mois les chiffres suivants : Google à 92,99% de parts de trafic, Bing à 4,19%, Yahoo! à 2,19%. Tous les autres sont en-dessous des 0,5%. On est donc, dans tous les cas, à moins de 7% de trafic pour Bing en additionnant ces stats.

Ceci dit, certains diront (certainement avec raison) que les chiffres de StatCounter ne sont pas fiables, en tout pas forcément plus fiables que ceux fournis par Microsoft dans ses graphiques. Il existe donc une seconde façon – à la disposition de tout éditeur de site web – de vérifier l’état du marché, en regardant le trafic généré par les moteurs au sein des outils de mesure d’audience de type Analytics. Et l’avantage, quand on fait du SEO, c’est qu’on a accès à un nombre important de statistiques de trafic pour des sites web de toutes tailles et dans de nombreux domaines. Il est donc très facile de vérifier les différentes parts de trafic des moteurs, et il s’agit même d’une partie indispensable dans un audit SEO.

Et le résultat est clair et net : en moyenne, on se situe pour le trafic total de Bing (en additionnant donc toujours celui d’AOL, de Yahoo!, etc.) aux alentours de 5% et ce chiffre ne dépasse absolument jamais la barre des 7%. Dire donc que les parts de marché de Bing en France sont de 19% est clairement erroné et surdimensionné. Peut-être ces chiffres sont-ils là pour satisfaire des actionnaires ou mettre en avant des solutions publicitaires, toujours est-il qu’ils n’en restent pas moins totalement en dehors de la réalité constatée sur le terrain. Et qu’il faut le dire pour ne pas induire les internautes en erreur.

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Parts de trafic Bing en Europe et dans le monde en 2017 (selon Microsoft)… Source de l’image : Bing
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Parts de trafic Bing dans le Monde en 2017 (selon Microsoft)… Source de l’image : Bing

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